La mode s’efface pour laisser parler la matière — comme un retour à l’essence.
Un ocre de Sienne, un brun d’argile, un rouge de Crète, la peau.
Les textures racontent la rudesse du geste, la mémoire des mains, la noblesse du simple.
La beauté se mesure à la densité du silence, à la justesse des tons.
Ombres de Terre est une méditation sur la beauté primitive, celle qui ne cherche plus à plaire,
mais à exister — dans la matière et le souffle du temps.

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